Bien sûr, Fatima, c’étaient surtout des doigts d’or, qui faisaient merveille dans la restauration des plans et dans le conditionnement des archives notariales. Mais pour les usagers des Archives, c’était sans doute d’abord un sourire, qui les a accueillis pendant de nombreuses années, depuis son arrivée aux Archives en 1992.
Fatima était malade depuis plusieurs années. Nous la savons en paix, mais elle nous manquera beaucoup.